19 juin 2018
Il y a toujours Un Brassens...
Il y a toujours
Un Brassens
Qui traîne
Quelque part,
Sur le zinc
D'un bistrot,
Sur les cordes
D'une guitare.
Il y a toujours
Un Brassens
Qui traîne
Quelque part,
Un Brel, un Ferré,
Un poète maudit
Qui dessine
Ses nuits
Sur une courbe
Infinie,
Un Rimbaud, Un Verlaine
Qui caresse
Ses nuits
Sur une courbe
Infinie.
Eduardo Pisani
LES POÈMES TOUT NUS
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