10 avril 2019
Ce n'est pas le renoncement mais presque...
Ce n'est pas le renoncement mais presque.
Et l'on voit passer les bateaux en feu.
Eduardo Pisani
LES POÈMES TOUT NUS
EDUARDO PISANI
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9 avril 2019
Je regrette l'hiver...
Je regrette l'hiver
Et ses blanches solitudes.
Eduardo Pisani
LES POÈMES TOUT NUS
EDUARDO PISANI
8 avril 2019
J'irai cueillir quelques poèmes...
J'irai cueillir quelques poèmes
Dans le Jardin d’Éden
Tout près de ta maison.
Eduardo Pisani
LES POÈMES TOUT NUS
EDUARDO PISANI
7 avril 2019
Quelle chanson merveilleuse...
Quelle chanson merveilleuse
Que tu m'as chantée cette nuit.
Et je brûle d'impatience.
J'ai envie d'entendre ta voix
À chaque fois que la nuit
Ensorcelle mes jours.
Eduardo Pisani
LES POÈMES TOUT NUS
EDUARDO PISANI
6 avril 2019
Je stresse au bord d'une falaise...
Je stresse au bord d'une falaise
Où la mélancolie cherche sa place
Pour s'envoler et disparaître.
Eduardo Pisani
LES POÈMES TOUT NUS
EDUARDO PISANI
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5 avril 2019
C'était le cinquième jour...
C'était le cinquième jour
D'un mois quelconque
Sur un astéroïde
Qui tournait en rond.
Et moi je voyais
Les marguerites
Se décomposer.
Eduardo Pisani
LES POÈMES TOUT NUS
EDUARDO PISANI
4 avril 2019
Je suis le plus grand poète du monde...
Je suis le plus grand poète du monde,
Mais il faut que ça reste entre nous.
Il ne faut le dire à personne,
Ce sera un doux secret entre nous,
Je suis le plus grand poète du monde.
Eduardo Pisani
LES POÈMES TOUT NUS
EDUARDO PISANI
3 avril 2019
Tu es une fille très surprenante...
Tu es une fille très surprenante.
Mais qui es-tu ?
Dans quel univers parallèle es-tu née ?
Existes-tu vraiment
Ou est-ce moi qui t'ai inventée
Pour passer le temps ?
Si j'avais cent ans de moins,
Je t'inviterais à danser sur la lune.
Eduardo Pisani
LES POÈMES TOUT NUS
EDUARDO PISANI
2 avril 2019
Toi seule As su saisir...
Toi seule
As su saisir
La poésie qui est en moi.
Eduardo Pisani
LES POÈMES TOUT NUS
EDUARDO PISANI
1 avril 2019
Elle portait un manteau gris, déboutonné...
Elle portait un manteau gris, déboutonné.
Elle avançait vers moi.
Quand elle était à 20 mètres de moi,
Je me suis dit que sa mini-jupe
Était vraiment très courte.
Quand elle était à 10 mètres de moi,
J'ai vu sa chatte.
Elle était complétement nue
Sous son manteau gris, déboutonné.
J'aurais dû la suivre,
Il y avait sûrement un coup à jouer.
Mais il était presque minuit,
Et j'avais envie de rentrer
Pour t'embrasser partout.
C'est emmerdant
D'être prisonnier d'un amour.
Eduardo Pisani
LES POÈMES TOUT NUS
EDUARDO PISANI
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