Il y a les Marches D'une église...
Il y a les
Marches
D'une église
Que l'on monte...
On ne sait jamais...
Il y a les
Marches
D'un avion
Que l'on monte
Pour s’enfuir.
Il y a les
Marches
D'un théâtre
Que l'on monte
Pour la gloire
Et puis
Il y a les
Marches
D'un immeuble
Que je monte
Jusqu'aux toits
Pour voir
Tes yeux
De près.
Eduardo Pisani
LES POÈMES TOUT NUS
EDUARDO PISANI