slameur
4 août 2017
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3 août 2017
Léo, Avec le temps...
2 août 2017
Mon village Est chic et cher...
Mon village
Est chic et cher.Et je l'aime.
Mon village,
Les boulevards.
Mon village,
Mon village,
Les avenues.
Et je l'aime,
Et je l'aime.
Mon village,
Mon village
Est chic et cher.Et je l'aime.
Mon village,
Les jardins.
Mon village,
Mon village,
Les bistrots.
Et je l'aime,
Et je l'aime.
Mon village,
Mon village
Est chic et cher.Et je l'aime.
Mon village,
Les musées.
Mon village,
Mon village,
Les palaces.
Et je l'aime,
Et je l'aime.
Mon village,
Mon village
Est chic et cher.Et je l'aime.
Mon village,
Le métro.
Mon village,
Mon village,
Les bateaux.
Et je l'aime,
Et je l'aime.
Mon village,
Mon village
Est chic et cher.Et je l'aime.
Mon village,
Les théâtres.
Mon village,
Mon village,
Les cinémas.
Mon village
Est chic et cher.Et je l'aime,
Et je l'aime.
Et je l'aime.
Eduardo Pisani
LES POÈMES TOUT NUS
1 août 2017
Quelques Divagations Irrationnelles...
31 juillet 2017
Un crayon, Un stylo, Un clavier...
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30 juillet 2017
La prochaine fois Que je serai Un enfant...
29 juillet 2017
Où bon Leur semble, Se déplacent...
28 juillet 2017
Dieu Est anorexique...
27 juillet 2017
Un bol De lait Chaud...
26 juillet 2017
L'amour Est Une façade...
25 juillet 2017
Tous venus au monde...
Tous venus au monde
Pour haïr ?
Tous venus au monde
Pour martyriser
Tous ceux qui sont
Plus faibles que nous ?
On dirait que oui,
On dirait que oui.
Tous venus au monde
On dirait que oui.
Tous venus au monde
Pour haïr.
Tous venus au monde
Pour martyriser
Tous ceux qui sont
Plus faibles que nous.Tous bourreaux,
Tous victimes.
Apocalypse
Inéluctable.
Eduardo Pisani
LES POÈMES TOUT NUS
24 juillet 2017
La bourrasque A balayé Les glycines...
23 juillet 2017
Court-circuitons Les règles Du jeu...
22 juillet 2017
Les mots dada...
21 juillet 2017
Intermède Expérimental...
20 juillet 2017
Des aubergines Farcies Planent...
Des aubergines
FarciesFarcies
Planent
Sur les toits
De Paris.
Qui décide.
Des aubergines
FarciesDe Paris.
Eduardo Pisani
LES POÈMES TOUT NUS
19 juillet 2017
Papa, C'est l'amiante Qui t'a tué...
Papa,
C'est l'amiante
Qui t'a tué.
Papa,
C'est l'amiante
C'est l'amiante
Qui a bouffé
Tes poumons.
Maman,
C'est l'amiante
Qui t'a tuée.
Maman,
C'est l'amiante
Qui a bouffé
Tes poumons.Et tout ça
Pour un petit
Salaire.
Maudite usine,
Maudit amiante,
Maudit amiante,
Maudits capitalistes.
Eduardo Pisani
LES POÈMES TOUT NUS
18 juillet 2017
La banalité Est devenue Incurable...
17 juillet 2017
Par ce sentier Escarpé...
16 juillet 2017
Pas une seule Divinité...
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